Bonsoir à tous,
Ce soir dans votre boîte mail, un newsletter allégée. Le mois de mai a été très dense et j’avoue avoir un peu lâché le pied sur la lecture, même si j’ai lu L’Heure des prédateurs (qui me fera confier le moins de choses possible à l’IA, même si elle a une utilité par ailleurs, notamment dans la médecine) et que je consacre quelques minutes par jour à poursuivre Les Raisins de la colère.
Quant aux gestes écolos, il faut bien le dire, si les possibilités sont immenses, je ne suis pas une experte et j’ai l’impression d’avoir fait le tour de ce que je pratique.
Si vous avez des gestes que je peux mettre en pratique et relayer 👇
Surtout, le mois de mai a été un peu fou avec :
une correction surprise que j’ai été ravie de réaliser (j’espère pouvoir reparler du manuscrit prochainement parce qu’il s’agit de la biographie d’une personne qui a eu un impact sur chacune de nos vies !) ;
le début de la préparation de la cérémonie laïque avec le recueil de tous les discours, leur retravail pour faciliter la lecture le jour J et une «répétition” pour caler un certain nombre de choses ;
la poursuite d’une biographie détonante : j’ai rarement autant ri pendant des entretiens. Pour le poker face, on repassera !
la suite de la correction du manuscrit, chapitre par chapitre, de ma plus jeune narratrice et l’imagination pour les prochaines étapes,
le démarrage d’une nouvelle biographie…
…et la rencontre que j’ai réalisée avec 8 personnes samedi autour de la biographie.
Vous aviez eu la primeur de la nouvelle ici le mois dernier.
C’était épuisant, mais carrément génial !
Et c’est pendant celle-ci, alors que j’expliquais mon processus d’écriture, qu’une des personnes de la salle m’a dit :
« Finalement, c’est un travail d’acteur que vous faites. »
Je n’avais jamais envisagé les choses sous ce prisme et c’est pourtant totalement ça.
Lorsque je prends des notes manuscrites entre chaque entretien, lorsque je crée mes cartes mentales, lorsque j’écris « je » avec cette main qui n’est autre que le prolongement de mon cerveau, je suis comme l’acteur, de théâtre ou de cinéma, qui répète son rôle.
Et dans la continuité, comme un fait exprès, hier, j’ai rencontré un ancien acteur de théâtre, qui a joué dans de nombreuses pièces, dans de grands festivals et nous en avons discuté. Il m’a confirmé : en écrivant, je m’imprègne des émotions du protagoniste et que je rentre dans sa peau.
Cette répétition, avant l’entrée en scène, avant le passage au clavier avec le texte réel – qui sera soumis au narrateur – entraîne une fluidité d’élocution, ici une fluidité dans la narration. Elle devient naturelle.
Alors ma méthode peut paraître archaïque à l’heure de tant de technologie, mais pour le moment, pour écrire le texte de votre vie, je continuerai de répéter mon rôle stylo en main !
Avant de vous quitter, il faut quand même que je rappelle que le mois de mai n’est pas terminé. Et vendredi, avec joie, je vais continuer de recueillir les éléments nécessaires à l’écriture du livre de ma famille.
C’est que je vais en tenir un sacré nombre de rôles !
Et j’espère qu’elle ne sera pas fâchée, ma super consœur qui a rédigé mes nouveaux articles web… Je n’ai même pas encore pris le temps de les implémenter sur mon site ! 🤷♀️
Rendez-vous le mois prochain, avec un couple qui sera depuis marié !