Le prix d'une biographie...
... n'est pas toujours ressenti de la même manière par les clients !
Bonsoir tout le monde !
Le mois de juin se termine dimanche et on pourra dire qu’il a été chargé ! Que de rencontres… Une soirée avec des personnes (venues dans le Périgord) avec lesquelles j’ai l’habitude d’échanger (ou pas d’ailleurs !) sur LinkedIn, la présentation du métier de biographe à la librairie, des rencontres entrepreneurs, et un nouveau narrateur !
En attendant les vacances qui se profilent mi-juillet, au menu de ce soir, je vous propose :
petit retour sur le prix de la prestation ;
le livre du mois qui aborde toutes les questions que l’on se pose quand on se lance dans l’écriture sur soi ;
le petit couvercle écolo !
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Le coin métier
Il y a quelques mois, je vous ai parlé de Laurent pour qui ses frères estimaient que faire écrire la biographie de leurs parents était “un truc en plus à payer”.
Ces deux derniers mois, j’ai été étonnée des réactions totalement différentes entre plusieurs prospects qui m’ont contactée pour évoquer des projets de biographie.
Deux personnes m’ont appelée pour un livre d’un parent ou grand-parent, un pour lui-même et la dernière pour un projet familial plus large.
Aucun d’entre eux n’avait écrit une seule ligne et chacun des projets passerait par des entretiens classiques, avec un ou des narrateurs. Pour présenter facilement, j’ai pris le nombre moyen d’entretiens réalisés (10), j’ai donné un budget global, j’ai expliqué mon système de facturation (en plusieurs temps pour rester au plus près des besoins des clients, toutes les informations ici), etc. Bref, j’ai donné les mêmes éléments (ce qui est normal) et la même fourchette de montant à prévoir (en expliquant que ce sera à affiner). Et là, je me suis trouvée face à quatre réponses totalement différentes :
“Quoi ? Mais Madame, il faudrait peut-être penser à un budget raisonnable pour la famille !” (J’ai signé quand même pour ce projet, mais pas avec lui…)
“Ah ! Ben, je pensais que c’était bien plus cher que ça !” (Projet embryonnaire, donc pas de nouvelles !)
“Je pense que ce que vous permettez aux familles de faire mérite bien plus.” Et quelques jours plus tard : “Tout le monde est OK, il faut juste que maman soit d’accord.” (Ça, c’est un vrai autre sujet !)
“Oui, ça me paraît cohérent. Écoutez, dites-moi quand vous êtes disponible et on fait le premier entretien.” (Au bout de 15 min au téléphone seulement.)
La valeur du projet n’est-elle qu’une histoire de prix ? (on est en saison de bac, vous avez heures 😅)
Le livre du mois
Je n’en ai pas totalement achevé la lecture, mais je me lance quand même à vous en parler !
Ce livre, c’est Le Chagrin de Lionel Duroy, sorti en 2010.
C’est le premier livre que je lis de cet auteur. Et en tant que biographe, il est sacrément intéressant. En tant que personne qui voudrait se lancer à écrire sur elle-même, il le serait tout autant. En tant que simple lecteur, si vous aimez les romans autobiographies et biographies, il est parfait !
En lisant ce livre, on touche du doigt toutes les bonnes questions :
l’effet du travail d’écriture sur soi, à devoir même s’arrêter temporairement ;
la nouvelle compréhension des événements passés ;
la limite entre notre propre réalité et celle des autres ;
la manière dont notre famille peut recevoir le livre ;
la croyance d’avoir vécu certaines choses d’une certaine manière,
etc.
Je trouve ce livre vraiment très bien fait, car l’auteur revisite son passé le plus objectivement possible et pour respecter le lecteur (quand il conçoit qu’il peut y avoir erreur ou qu’il se pose des questions), il lui parle au moyen de parenthèses. Elles interviennent régulièrement et donnent un énorme intérêt au livre.
Je le recommande chaudement ! Mais je concède qu’il ne sera pas le plus joyeux à lire sur la plage cet été…
Le capuchon écolo
Je sais que certaines des personnes qui me lisent les utilisent… parce que nous les avions achetés ensemble.
Mais je suis certaine qu’ils sont inconnus du plus grand nombre. Pourtant, qu’ils me sont utiles mes capuchons Capuline !
Vous avez chez vous des pots La Laitière à ne plus savoir qu’en faire (moi, je n’en achète plus, mais je garde précieusement les miens pour les grosses tournées de verrines !) ? Ou vous en avez marre de les jeter ?
Et vous avez des fonds de sauce ? Des fromages blancs, compotes – ou que sais-je ? – en vrac, entamés et à conserver ? Voire vous faites des courses en vrac et vous vous cassez la tête pour les épices ? Ces petits capuchons bien pratiques vous permettront de réutiliser vos pots indéfiniment (sauf si vous les cassez, on est d’accord) et vous éviterez l’emploi du papier alu !
Vous connaissiez ?
Source photo : site capuline.com